Interprété ici par Domingo Federico Y Su Orquesta Típica.
Traduction de Fabrice Hatem
Callejón…Callejón…
lejano… lejano… ííbamos perdidos de la mano bajo un cielo de verano soñando en vano… Un farol… un portón… – igual que en un tango – y los dos perdidos de la mano, bajo el cielo de verano que partió… Déjame que llore crudamente con el llanto viejo del adiós… adonde el callejón se pierde brotó este yuyo verde del perdón… Déjame que llore y te recuerde, – trenzas que me anudan al portón; – de tu pais ya no se vuelve ni con el yuyo verde del perdón. ¿ Dónde estás…dónde estás… adónde te has ido? Dónde estan las plumas de mi nido, la emoción de haber vivido y aquel cariño… Un farol… un portón, – igual que en un tango- y este llanto mio entre mis manos y este cielo de verano que partió… |
Ruelle.. Ruelle
Lointaine.lointaine. Nous marchions, perdus, nos mains jointes Sous un ciel d’été Révant en vain. Un fanal, un portail, – Comme dans un tango -, Et tous les deux, nos mains jointes Sous ce ciel d’été Disparu. Laisse-moi donc pleurer simplement Avec les vieilles larmes de l’adieu Là-bas, où se se perd la ruelle, Pousse cette herbe verte Du pardon Laisse-moi pleurer à ton souvenir Tresses qui m’attachent à ce portail ; De ton pays on ne revient pas Même avec l’herbe verte Du pardon. Où donc es-tu partie ? Où es-tu. où est-tu. Où sont les plumes de mon nid, L’émotion d’avoir vécu Et cette tendresse. Un fanal, un portail, Comme dans un tango, Et mes larmes glissant dans mes mains Et ce ciel d’été Disparu. |